ethnologie campagnarde

Tout d'abord, je tiens à m'excuser pour les fautes d'orthographe du (des) message (s) précédents (s). Je m'en suis aperçue trop tard et je n'ai pas su comment faire pour les corriger après. Je vais continuer à chercher mais je ne suis pas certaine d'y arriver.

Edit : ça y est, je sais comment faire ! les fautes sont à signaler au bureau des réclamations et autres affaires perdues d'avance pour correction éventuelle.

Enfin bref, pour aujourd'hui je vais faire une pause dans le récit que j'avais entamé pour vous faire part de mon nouveau sujet d'étude : la survivance de certaines pratiques désuètes mais néanmoins amusantes (?) dans la France profonde et agricole. Ici, le premier mai.
Le premier mai est source de joie naïve comme par exemple placer un tronc d'arbre devant la maison de la demoiselle dont on souhaite attirer l'attention. Mais c'est également l'occasion de farces récréatives bon enfant telles que le déplacement de pierres servant de muret de façon à bloquer un parking (c'est mieux si les voitures sont à l'intérieur), de retirer les volets les plus bas de certaines maisons, voire de faire la joie du cantonnier en décorant artistiquement les poteaux de signalisation.

Sont-ils taquins et primesautiers, ces gens.